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forum type réalité alternative mettant en lumière une monarchie fictive moderne située dans une corée réunifiée. rejoignez-nous à hanseong, princesse, ancien noble, majordome, rebelle démocrate ou simple citoyen en paix, où amours, complots, réputation, alliance et trahison entrent dans votre existence. KINGDOM COME est administré par cez, childish, moonset et modéré par niou, gouine b, overzone et midnight shadow ♡ le forum est optimisé pour google chrome ♡ le contexte, le design et l'ensemble des codes ont été faits par CEZ, CHILDISH et MOONSET, toute reproduction partielle ou totale est INTERDITE. | | | | khan yesun présence réduite |
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11/10/20 — cinquième version automnale, parfum de citrouille et feuilles qui tombent !! advert — obtenez 100 points de réputation en rejoignant le groupe des in my blood ou celui des shots fired ! advert — merci de respecter au maximum les origines de votre fc ! 21/05/20 — le forum a ouvert ses portes, amusez-vous bien ! | |
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Lun 25 Mai - 6:26 Invité silence qui traverse le paysage - il passe à travers les décors parfaits du jardin. ô, dieu qu’il fait beau. le soleil berce sa peau et il n’en témoigne aucune aigreur. aujourd’hui, la nature lui semble plus douce, plus calme. elle apaise un peu ce cardiaque qui ne sait plus où bomber sous le torse. toujours une part de doute mit en sourdine, et les chants des oiseaux n’y changent pas grand chose. mais n’arrêtez pas, ne tombez pas de vos arbres, n’allez pas gazouiller plus loin. resté près des enfants qui se faufilent dans les grands bras du roi. il n’ose pas s’asseoir, peut-être qu’à une seconde près, il devrait s’enfuir de cette nature qu’il prends à peine le temps d’observer. siluan ne fait qu’avancer, sans savoir où il va, si il y a un bout, une finalité à tout ça - devrait-il écraser quelques fleurs pour arriver plus vite aux bouts de l’allée ? pourtant, il s’arrête, d’un regard qui ne lui échappe pas. lui aussi, il est seul ; lui aussi, il est là. son frère, qu’il voit au travers des hais qui rends tout ce lieu plus labyrinthique. et sans doute oui, qu’il devrait s’enfuir, mais il prends une seconde pour l’observer, toujours ce questionnant si un jour il pourra lui faire honneur. et, ( dis moi, est-ce que je serais un jour le grand-frère voulu ?) parce qu’il en doute toujours un peu trop, parce qu’il n’en sait jamais trop rien. il est parti trop tôt, il a quitté le nid trop vite, à peine le temps de se serrer dans les bras. ne l’avait-il jamais fait qu’après sa naissance, enfin ( je t’ai tenu une fois entre bras, tu étais lourd sans doute pour tous mes mœurs d’enfant, mais tu as déjà été là) et il y restera. c’est les ri qui passèrent avant tout dans ses veines. sa famille et rien d’autre. un nom à sauver, et il promet qu’il arrivera à les sauver de l’oublie. sans doute que les regards se croisent, alors il tourne la tête, de cette impassibilité qui lui ressemble bien pour masquer tout ce qui bourdonne sous les cotes, ici et là. il reprends sa marche, il faut partir, il faut fuir encore les craintes qui le commandent. mentir, encore plus, s’éloigner au possible. parce qu’il le regardait malgré lui, le surveillait d’un œil lointain. même si les mondes sont disjoints, il restait son frère. il marche, marche, à la folie de son myocarde, il accélère un peu le pas. non, non, ne vient pas. il n’est jamais prêt à avoir une conversation avec lui, même si c’est juste pour parler des oiseaux qui vivent au cœur de tous les vices. |
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Mar 26 Mai - 12:22 Invité Les yeux perdus dans le ciel, les pensées vides, le visage sans expression particulière. Dohyun se promenait dans les jardins du palais sans but particulier. Il n'avait pas encore quelque chose à faire et il s'ennuyait. Dohyun détestait s'ennuyer. Il avait besoin d'excitation sinon il avait l'impression de perdre son temps. Bien sûr, il y avait des moments où il appréciait la solitude car comme tout être humain, il avait une limite d'énergie et il avait besoin de moments seuls pour la rendre à nouveau fonctionnelle. Mais contrairement aux introvertis qui avaient besoin de ce temps seul parce qu'ils n'avaient plus d'énergie, Dohyun en avait besoin parce qu'il en avait trop. Passer du temps seul lui permettait de faire baisser sa barre d'énergie pour qu'il redevienne « normal » (si on pouvait appeler le garçon normal). Sauf que c'était rarement de son plein gré et s'il se retrouvait seul à faire baisser son énergie, il voulait absolument trouver quelqu'un pour la remonter. C'était un peu comme un conducteur qui aurait besoin que quelqu'un appuie sur la pédale d'accélération pour lui alors qu'il était déjà en train de rouler. Il pouvait très bien rester à cette vitesse mais il aimait aller plus vite. Les yeux d'un air las revenant sur la terre, il ne suffit que d'une seconde pour que le garçon croise la silhouette de quelqu'un, reconnaisse celle-ci, plante son regard dans le sien, ne le lâche pas. Les pensées se revigorèrent d'un seul coup, les graines mortes reprirent vie et ses connexions recommencèrent le service. Il se rappela de tout, son inconscient faisant le travail à sa place pour placer tous les souvenirs qu'il partageait avec cette personne à côté de sa silhouette. Le garçon plus vieux que lui enfant, courait à côté de lui, souriant comme s'il n'y avait pas de lendemain. Puis il commença à vieillir, le sourire fanant sur ses lèvres et le regard se durcissant. Et rapidement, il n'y avait plus rien. Les contacts se firent plus rares, l'apparence se faisait plus floue et il avait pratiquement disparu de sa mémoire. Mais voilà, la vie était bien faite et la ville n'était pas très grande ; le palais non plus. Unis par le sang, peu importe à quel point leurs cœurs étaient éloignés, ils se retrouveraient toujours. Parce que tu es mon frère.Les avis divergent, les bateaux prennent des canaux différents. Malgré tout Dohyun ne l'oubliera pas, ne se permettra jamais de l'oublier. Il ne comprenait pas pourquoi est-ce qu'il avait choisi de partir ailleurs mais il voulait savoir. Il avait toujours trop soif de connaissances. Peut-être était-ce un défaut. On lui disait souvent que c'était un défaut. Mais il n'en avait rien à faire. Tout ce qu'il voulait, c'était faire en sorte que leurs chemins se croisent de nouveau, que leurs bateaux se frappent de nouveau et qu'ils s'unissent de nouveau. Rêve idyllique, rêve qui ne restera sûrement qu'un rêve mais Dohyun avait envie d'y croire. Juste parce qu'il était attaché à son frère étranger. Il appuya sur la pédale d'accélération tout seul. Il accéléra beaucoup le pas, les yeux rivés sur son frère alors que ce dernier s'éloignait. S'il voulait partir alors Dohyun n'aura qu'à le rejoindre plus vite. S'il voulait creuser un fossé entre eux alors Dohyun n'aura qu'à le remplir plus vite que lui. S'il voulait qu'ils soient des étrangers alors Dohyun n'aura qu'à se lier à lui plus vite qu'il ne deviendrait un étranger. Il n'aura qu'à aller plus vite que son frère pour combler la distance qui s'était créée entre eux. Si Siluan s'efforçait de courir pour fuir Dohyun, Dohyun le rattrapera en sprintant. Conviction qu'il s'était promise. Il ne laissera pas son frère lui filer des doigts. Le « un peu » n'était pas suffisant face au « beaucoup » que Dohyun était prêt à mettre. Le voilà déjà aux côtés de son frère, un sourire sincère sur les lèvres alors qu'il était prêt à discuter tout seul. Tant que Siluan n'était pas sourd, Dohyun avait toutes ses chances. « Hey hyung, » l'appela t-il comme s'ils étaient proches. « Beau temps n'est-ce pas ? Les jardins sont particulièrement beaux, ça donne envie à quiconque de venir ici. Tu faisais quoi de beau avant de venir ici ? Besoin de se rafraîchir les idées ? C'est vrai qu'il fait un peu chaud en ce moment. Mais il faut quand même faire attention à ne pas tomber malade, un rhume ça peut arriver trop vite. Je déteste ça moi, tomber malade. Tu te sens mal et puis... » Il grimaça. « Tu peux même pas assurer tes fonctions. Horrible. » Il regarda son frère puis lui sourit doucement. « C'est quand la dernière fois que t'es tombé malade, toi ? » Un premier sujet trop étrange mais c'était Dohyun. Capable de parler de n'importe quoi. Il pouvait et allait parler de n'importe quoi. Tant que c'était avec son frère. |
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Jeu 28 Mai - 7:09 Invité Il l’entends derrière lui, à la couleur de sa naissance arrivé si rapidement après la sienne. Il l’entends, il n’est jamais bien loin. Toujours à quelques pas. Siluan, il s’efforçait de le fuir, de marquer une distance sans avoir à le repousser, mais parfois faudrait bien l’éloigner, quitte à se montrer apathique, quitte à faire preuve de cruauté. Ce n’était pas de sa force, à lui, son âme trop puissante d’émotions pour qu’il en tire quoique ce soit, mais le personnage, celui qu’il a forgé depuis tant d’années, il est invisible, illisible, insolvable. Celui qu’il s’était forcé à devenir, celui là, il pouvait sans doute faire n’importe quoi. Malgré tout, qu’il ne s’approche pas le frère, de ce visage qu’il ne reconnaît plus, de cet aîné dissipé. Trop vite, Dohyun a mangé la distance, il se tenait à ses côtés comme si ça avait toujours été le cas. Il ignore tout de Siluan, de ses convictions dont il n’a pas tant d’assurances, de son monde à fleur de peau, de ses doutes grandissant dans sa poitrine. Ils ne connaissaient plus, pourtant il courait encore après le fantôme du petit garçon qu’il avait à peine eu le temps de connaître. les souvenirs sont faibles, peut-être un reste de la dernière année avant son départ, mais Siluan n’était déjà plus là, trop forgé dans l’éducation qu’il avait reçu, il avait depuis toujours, oublié qui il pouvait bien être. La tragédie d’un garçon vivant seulement pour les autres, Dohyun pourtant suivait les mêmes traces de la soumission, avec une éducation différente, avec une enfance qui ne s’est pas vécu loin de ses autres frères. Garde du corps ou Majordome, certains disait que c’était pareil, qu’au final c’était vendre son âme aux services des autres. Mais il y avait tant de choses qui divergeaient. Et toutes les choses qui se sont additionnés à ça. Dohyun ne comblera jamais le vide qui s’était creusé entre eux. Pas tant que Siluan serait disparu sous les fantômes qu’il a inventé. Blablater à en avoir la gorge desséchée, pour ne rien dire. Siluan trouvait cette situation pathétique, trouvait ces gestes inutiles, mais n’en disait rien. Il n’a qu’à parler dans le vide, agresser le ciel de question, peut-être qu’il lui donnera les réponses qu’il espérait avoir. Le majordome ne lui jette pas même un regard, les yeux droits devant lui. Ses traits possédaient une certaine dureté, mais elle n’était rien à toute la lividité planant dans ses onyx. Comme si, il était capable de de se tuer, pour ne pas ressentir toutes les choses que son frère pourrait venir à implanter par sa simple présente stupide. Pourquoi ? Pourquoi s’efforce-t-il de sauver quelque chose qui n’aurait presque pas exister ? Pourquoi veut-il sauver un garçon qui n’arrive pas même à rendre honneur à sa famille ? Dohyun était vraiment un garçon particulier dont la rudesse de la vie ne semblait pas même capable de l’effleurer. La dernière fois qu’il était tombé malade, n’était-il pas seulement malade depuis trop longtemps ? « Ce n’est pas important. », qu’il réponds juste. Quand bien même il y pense malgré tout un peu. Mais il n’a aucune envie de lui répondre plus que ça, il veut seulement converser le fossé, le creuser encore plus et plus profondément. Parce qu’il ne se sentira jamais à sa place. Jamais pleinement vivant. Jamais pleinement lui. Il avait un besoin extrême des autres, dérisoirement, pour vivre. Même s’il n’arrivait pas à le dire, ni à le montrer, il a passer son temps à ne penser qu’à sa famille, à ne s’occuper que de Soren. Malheureusement, en ça, il avait cessé d’exister. Coincé dans son costume, presque étranglé par sa cravate autours de son cou. En ces lieux, il n’était rien d’autre que ça. Siluan ne soupir pas, jamais, au combien il en a souvent envie, il n’extériorise jamais rien, reste souvent bien trop droit, bien trop sage. Il ressemblait trop bien à l’un de ses pantins. « Tu n’as rien de mieux à faire ? » Glacial, presque autoritaire. Il serait plus judicieux de le renvoyer à ses tâches, qu’il s’en aille mettre son énergie débordante dans quelque chose de plus utile, parce que lui parler est sans doute vain. |
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Dim 31 Mai - 0:20 Invité Dohyun était né un an après Siluan. Un an et un mois, pour être un peu plus précis. Un an et un mois qui étaient en trop. Le garçon n'avait que six ans lorsque le plus grand était parti de la maison, il n'avait que neuf ans lorsqu'ils avaient perdu leur titre de noblesse. Il avait toujours eu un an de moins que son grand-frère, un an en retard. Un an où il ne pouvait que voir la distance trop grande entre celui qui partageait son sang et lui-même. S'il était né la même année, le même mois, le même jour que lui, peut-être qu'il n'y aurait pas eu cet énorme fossé entre eux. Peut-être que Siluan n'aurait pas eu le temps de creuser un fossé, peut-être que Dohyun aurait pu être assez rapide pour reboucher l'éventuel trou qu'il aurait creusé et se placer aux côtés de son grand-frère. Mais parce que le temps n'avait pas été en sa faveur, avant même qu'il ne le remarque, il y avait déjà eu un trop grand fossé pour que le garçon puisse le recouvrir de terre. Ce serait innocent de se dire qu'il n'y avait que le temps qui l'avait causé, mais ce n'était pas le cas. L'aîné avait volontairement mis de la distance entre eux, suffisamment de sorte à ce que le plus jeune ne puisse même plus voir l'ombre de ce dernier, pour qu'il ne pense même plus à son grand-frère qu'il avait perdu dans son enfance. Physiquement et mentalement ils s'étaient éloignés et le garçon n'y avait plus pensé jusqu'à ce que leurs corps soient de nouveau proches. A ce moment-là, il avait aperçu la silhouette du petit garçon qu'il avait connu mais qui ne faisait que se réduire en cendres dès qu'il rencontrait le regard de l'adulte. Il n'y avait plus rien du gamin. C'était donc un effort inutile que Dohyun gaspillait pour essayer de retrouver son vieux frère. S'il était un peu plus normal, un peu plus sensé, alors peut-être aurait-il abandonné. Peut-être aurait-il laissé tranquille son grand-frère qui faisait déshonneur à sa famille, mais le jeune homme n'était pas comme ça. Parce qu'il voulait comprendre. Revenir aux jours d'antan. Sauver leur relation d'étrangers. Le comprendre. Les questions stupides, on pouvait s'en passer. Mais Dohyun n'avait (souvent) pas le sens des priorités et il cherchait simplement à combler le fossé entre lui et son frère avec des discussions dénuées de sens. C'était comme s'il était en train de marcher au-dessus du fossé entre eux, sans se préoccuper de la loi de la gravité, ignorant le noyau de la Terre qui le ramenait à son centre et qu'il réussissait à marcher par-dessus le vide avec un sourire triomphant, le regard planté dans celui de son grand-frère. Son regard dur et vide, Dohyun n'en était pas blessé. Dohyun était plutôt blessé par la façon dont ils avaient l'air si vides. Si Siluan n'avait plus rien dans ses yeux, alors Dohyun sera ravi de lui donner les siens. Si Siluan n'existait plus, Dohyun lui redonnera son existence. « Bien sûr que si c'est important, » répondit-il avec un sourire qui ne quittait jamais ses lèvres. Surtout pas quand il parlait à son grand-frère. « Il faut se souvenir de quand on est tombé malade. Ça peut prévenir les futures fois où on va tomber malade. Je ne te souhaite pas de retomber malade évidemment, mais c'est un peu inévitable comme processus. Mais tu me diras, il y a des gens qui ne tombent que rarement malades, c'est vrai. Je connais quelqu'un qui n'est plus tombé malade depuis dix ans. Peut-être que c'est ton cas ? T'es team quoi ? Team malade une fois par an ou team malade une fois par décennie ? Ou pire, une fois tous les mois ? J'espère pas. Je ne pense pas. T'as pas l'air d'avoir un métabolisme faible. » Dohyun aurait pu causer tout seul pendant des heures mais la voix de son frère résonna dans ses oreilles, ce qui lui mit un stop interne. Peut-être un peu externe, puisqu'il eut un petit mouvement d'arrêt mais reprit vite le pas de la course, de sorte à ne jamais traîner trop loin derrière lui. Il sourit, sourit comme il le faisait toujours. Un sourire devenu plus mature avec le temps, mais le même sourire qu'il lui adressait lorsqu'ils étaient deux gosses pas encore brisés par la vie. Peu importe si Siluan lui souriait ou lui criait dessus, Dohyun affichait la même mine. Il comprenait. Il voulait comprendre alors il faisait mine de comprendre. Après tout, ils disaient que sourire était un bon moyen de faire croire à son cerveau qu'on était heureux. Alors pourquoi cela ne marcherait-il pas avec l'empathie ? « Non, rien de mieux que de te parler. J'ai pire à faire, bien sûr. Mais j'ai pas mieux. C'est pour ça que je te parle. Parce que je pourrais pas trouver mieux. » Il continua de lui sourire en bout de phrase, puis se détacha finalement de son regard dur pour regarder un ciel plus doux. « Et toi, hyung ? T'as rien de mieux à faire que de te promener dans ces jardins ? Un majordome doit être plutôt occupé. » Dohyun n'avait jamais eu l'occasion d'en savoir beaucoup sur le métier de son grand-frère. Il savait juste qu'il était majordome, qu'il avait certaines tâches à accomplir, mais c'était tout. Et il avait soif de savoir. De compréhension. |
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