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forum type réalité alternative mettant en lumière une monarchie fictive moderne située dans une corée réunifiée. rejoignez-nous à hanseong, princesse, ancien noble, majordome, rebelle démocrate ou simple citoyen en paix, où amours, complots, réputation, alliance et trahison entrent dans votre existence. KINGDOM COME est administré par cez, childish, moonset et modéré par niou, gouine b, overzone et midnight shadow ♡ le forum est optimisé pour google chrome ♡ le contexte, le design et l'ensemble des codes ont été faits par CEZ, CHILDISH et MOONSET, toute reproduction partielle ou totale est INTERDITE. | | | | khan yesun présence réduite |
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11/10/20 — cinquième version automnale, parfum de citrouille et feuilles qui tombent !! advert — obtenez 100 points de réputation en rejoignant le groupe des in my blood ou celui des shots fired ! advert — merci de respecter au maximum les origines de votre fc ! 21/05/20 — le forum a ouvert ses portes, amusez-vous bien ! | |
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Lun 25 Mai - 13:58 Invité il passerait bien son temps à courir, à marcher dans les couloirs à l’infini, ces temps-ci. il ne sait plus ce qu’il cherche, un sens réel à sa vie, ou si ce n’est l’ombre d’un garçon qu’il ne reconnaissait plus depuis quelques temps. ça fourmille sous ses manches, cette sensation qui le démange, cette crainte parfois que le masque tombe et se brise, toujours cette pseudo peur que le monde se déchire, qu’il reste une défaite de famille. pourtant, aussi, il y a quelque chose de fort et battant qui s’exclame sous l’échine, le désir de se raccrocher à sa manche, de saisir les pièces du puzzle et de les remettre en ordre. soren, il vogue à la recherche de son visage plus que son titre, parce qu’il ne pourra jamais nier toute l’affection qu’il a pour lui, même si elle se voile souvent un peu dans ses façades égarés. il a toujours sût lui montrer, qu’il était sa meilleure compagnie, à défaut d’être le meilleur humain. siluan, il ne sait pas, peut-être dans un déni trop profond, pour oser croire une raison plus qu’une autre. il ne veut pas savoir, seulement au moins le voir. il passe une porte, comme exténué d’avoir tant marché dans ce palais presque étroit pour tout ce qu’il contient. et au bout du paysage, alors que son regard s’adapte à la soudaine lumière qu’il l’ébloui, il le voit, lui. soren, au garçon qui contraste à ce temps merveille, parce que soren n’est pas solaire, non, il est bien plus d’une clarté délicate, une lune sensible qui n’ose pas transpercer le ciel d’une lueur trop forte. il a ce voile argenté autours des paupières, magnifique, des milliers de rêves qui s’y bercent. comment avait-il fini par le connaître sur le bout des doigts, lui, le garçon des ombres, le garçon éteint, qui n’est qu’un fantôme qui n’accorde guère d’attention aux vivants qui foulent les décors ? il n’en sait rien, il ne se pose jamais les questions qu’il faut, simplement, il le connaît. une colère monte soudainement à la vue de son corps flânant au milieu de la verdure. parce que malgré toute la clairvoyance, il est noyé dans le doute. soren n’est plus lui-même ses derniers temps. mais, siluan, ce n’est pas ça qu’il voit. il est en colère de cette distance soudaine, qu’il remettra sur l’effort qu’il fait à être un bon majordome. il est agacé, et il voudrait ne pas individualiser cette souffrance, parce que oui, de cette éloignement soudain, il n’y a forcément que lui qui en souffre. il ne comprends pas pourquoi lui. le majordome s’approche, retenant son souffle, retenant cette chose qui s’agace sous les pores et s'agrippe à ses muscles. il s’approche, mais la force qui le pousse à avancer s'atténue, parce qu’il remet tout en question à partir du moment où les regards se croisent. ne me fuit pas. « soren, attends. », il n’accélère pas sa marche, comme s’il était fier, comme s’il ne voulait pas lui donner cette impression de passer son temps à lui courir après. « pourquoi tu m’évites.. ? », le ton est calme, doux. peut-être qu’il a des idées, mais il en a toujours un tas des peurs qui l’occultent. « j’ai fait quelque chose ? », comme si d’un coup, il exposait aussi le fait par une question, qu’il prenait son comportement personnellement, sans savoir si il était ainsi avec tous les autres. « qu'est-ce qui se passe ? » il a milles doutes qui le traversent, de sa crainte qu’il découvre la véritable raison de sa présence, ou que les choses aient fatalement changé depuis paris. peut-être les deux, peut-être aucun. une part de lui a avant tout peur de ce qu’il peut découvrir. |
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Lun 25 Mai - 20:19 Invité un brin de liberté, pour quelques instants seulement.il respire profondément. il se purifie l'esprit. l'air est pur et sain, bien plus qu'au palais. enfin, il n'étouffe plus. il ne suffoque plus. il se sent étrangement bien. tellement bien. et il rêve que ce moment dure éternellement. il supplie pour qu'on ne vienne pas le déranger. il prie pour que personne ne puisse le retrouver. mais au loin, il aperçoit déjà siluan arriver. il se dirige à grands pas vers lui et soren commence à se dégonfler. le prince engage une marche en sens inverse, préférant fuir plutôt que révéler la confidence de ses chagrins, de ses pensées. soren n'est pas encore prêt pour s'entretenir avec lui. il n'en a d'ailleurs ni la force, ni l'énergie. il souhaite simplement qu'on le laisse tranquille, qu'on le laisse seul. malheureusement siluan n'est pas du genre à écouter. premier éclat.soren ne se retourne pas. il ne veut pas le voir. il ne veut pas affronter son regard. il sait pertinemment que si ses yeux croisent les siens, il risque de capituler, d'abandonner. laisse-moi tranquille, siluan, ordonne-t-il d'un ton sec. mais siluan n'écoute pas. il continue de le bombarder de questions, de l'agresser avec ses interrogations. et soren est fatigué. il est fatigué de devoir toujours se justifier. pourtant, il se retourne et daigne enfin le regarder. il le fixe de sa la prunelle livide et s'avance vers lui, noble, droit, avec sa froideur princière qui ne laisse rien transparaître, alors que son coeur pleure dans le creux de sa poitrine. je ne t'évite pas, soupire-t-il, agacé par l'effronterie de son ami. j'ai juste besoin d'être seul pour réfléchir. il détourne le regard, cherchant le reste de son courage dans les fleurs et les broussailles qui jonchent les alentours. alors cesse de m'importuner et trouve quelqu'un d'autre pour jouer avec toi. c'est un ordre.deuxième éclat.soren fait soudainement volte-face et revient peu à peu sur ses pas. il continue sa marche hâtive le long des jardins, des hautes herbes, abandonnant derrière lui son seul et unique ami, le coeur encore plus lourd qu'accoutumé, l'esprit complètement désordonné. |
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Mar 26 Mai - 4:55 Invité encore, la distance détonne au son de sa voix, son corps qui se tient droit, qui se tourne finalement pour lui tourner tête. mais combien de temps ? combien de temps tiendra-t-il cette confrontation ? combien de temps arrivera-t-il à continuer d’essayer de l’éloigner ? il était patient, siluan, mais ça ne lui fait pas sens, tout ça. il voudrait qu’il lui parle, qu’il se confie, parce qu’il a toujours été avec lui. les sourcils se froncent, les lèvres se pincent, regard qui se détournent en main qui passe à ses mèches, s’échouent contre sa nuque. il ne sait pas, le garçon, si il doit le laisser pour essayer de lui donner une chance de parler. si il doit abandonner alors qu’il n’accepte pas les mots qu’il prononce. il est toujours en plein doute. « mais réfléchir à quoi, soren ? » mais le glas sonne, le désordre se sème dans le jardin édénique. le chaos né dans la beauté du paysage, là où l’un d’eux creusent simplement la distance. mais s’il perdait soren, il perdait sa vie. il avait toujours été le point central de tout. il avait été éduqué pour servir sa vie. et ça l’enrage, putain de gamin, alors c’est ça, tu ne penses qu’à toi. mais il peut pas lui dire n’est-ce pas, il est obligé de se tenir droit, de le laisser à ses pensées ? Mais l’ordre qui tombe, il veut seulement le bafouer. « c’est n’importe quoi. », il s’approche, l’incompréhension inscrit sur son visage, il s’approche d’une marche rapide, il lui passe devant, l’oblige à lui faire face. « j’ai l’air de jouer ? » et la pomme d’adam roule dans la gorge. « c’est mon devoir de veiller sur toi. » une provocation sans doute qui sonne comme une vérité, le regard qui creuse dans celui de l’autre. il a le torse qui se bombe, et la confiance se pointe comme si ça pouvait venir à cacher tous ses doutes. « c’est quoi ? c’est Paris ? », et il essaye, essaye de mettre le doigt sur cette chose qui le consume. parce que si soren tombe, fatalement, siluan tombe avec lui. sauver le garçon ou sauver sa peau, délier le vrai du faux, les illusions et les envies ; il ne le fait plus, seulement, il n’y avait rien de bon à la froideur que soren témoignait envers lui. |
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Mar 26 Mai - 22:16 Invité la discorde l'orage et le chaos.en deux temps trois mouvements siluan le rattrape. il revient à la charge, le regard dur et les mots sévères. soren, quant à lui, prend un air renfrogné et soupire. ne commence pas, siluan. je n'ai pas envie de me disputer avec toi. pas aujourd'hui. ça gronde.il passe une main dans ses cheveux, le visage grave. il n'a pas envie de continuer cette discussion nerveuse et tendue. pourtant, il essaie de faire un effort, pour lui, pour son ami, désespérant à trouver les mots justes pour qu'il comprenne que c'est ni l'endroit ni le moment pour parler de ses changements humeurs et de son mutisme obstiné. je sais que ton devoir est de veiller sur moi, mais il n'implique pas nécessairement la nécessité que tu saches tout de moi. et bon sang !... qu'est-ce que tu peux être borné !... je t'ai déjà suffisamment répété que paris n'y était pour rien dans cette histoire !... ça frappe.soren s'impatiente, se mord la lèvre. il veut mettre un terme à cette querelle ridicule, qui l'angoisse plus que ne l'apaise. il n'a surtout pas envie de parler de paris ou même d'en évoquer le souvenir. il n'est pas encore prêt. il n'a pas pris suffisamment de recul. et il n'en a surtout pas encore fait le deuil. écoute-moi, siluan, ordonne-t-il d'un ton plus doux. je sais que tu t'inquiètes pour moi, mais c'est inutile. délicatement, le jeune prince vient poser une main sur l'épaule de son aîné. il la tient fermement, mais son emprise est douce et bienveillante, tout comme son regard, qui soutient infailliblement le sien. je te le promets, bientôt j'irais mieux. j'ai juste besoin d'un peu de temps pour reprendre mes esprits. alors, peux-tu me laisser tranquille maintenant, où dois-je te faire fouetter pour insubordination ?... |
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Ven 29 Mai - 19:51 Invité Mots qui se calment, qui se voudraient plus tendre pour faire taire le gamin qui lui fait face. Siluan se braque, impossible d’obtenir des réponses, voilà tout ce qu’il voit, et l’impossibilité de répondre au véritable envies de Soren. La frustration fait rage en lui, présente, lacérant le ventre, essorant les organes, jusqu’à les dernières gouttes de courage. Non, il n’a jamais été bon Siluan pour s’imposer, s’imposer en tant qu’ami, prenant trop son rôle au sérieux. Et il s’en fichait, il s’en fichait de lui tenir tête. Il s’en fichait de l’aider, qu’il aille crever avec le reste de la royauté. Façon, qu’en avait-il à faire de lui, il était juste son toutou bon à lui obéir ; et même dans la colère qui hurle, il n’est pas capable de dépasser cette limite, rattraper par cette réalité qui le maintient enchaîné. Les lèvres se pincent, se retiennent sans doute de bien plus dur qu’un hurlement noir, parce qu’il en a marre parfois, Siluan, de courir après du vide, d’obéir à tous les caprices. Parfois il aimerait juste avoir la force de partir, sans s’inquiéter pour sa famille, sans se préoccuper constamment de Soren. Majordome aux sourcils froncés, à l’aiguisé qu’il voudrait soulager, les doigts posés sur la tempe brûlante. Et il y a tant de choses qu’il refoule qu’il ne peut pas même les nommer, murmurer, seulement effacer. Il soupir, enfin, laisse tomber les bras le long de son corps en se forçant à se défaire de cette expression de colère, comme s’il n’avait été qu’une grimace de douleur passagère. Et le froid s’empare des mots, et la distance couvre les sens. « Si vous ne voulez en parler, alors soit, mon prince. », il s’efface, sous un vouvoiement, il s’éloigne dans des parole trop ferme. « Restez dans votre mutisme, mais ne me demandez pas de partir ». Les mains pénètrent dans les poches, son regard accroché celui du prince. Impossible, c’est que sa froideur aurait bien des éclats de provocations ici et là. Il n’en dira rien, restant dans une forme détachement, preuve de sa colère régnant entre ses côtes fêlées. « Laissez moi au moins faire mon travail.< » Il se range, tant pis s’il ne sait pas, il s’en passera. Siluan s'assoit sur un banc non plus, venant croiser les bras sur son torse, les yeux qui profitent un peu des alentours avant de regarder le sujet de toutes les interrogations. « Je ne dirais rien, je me dois juste de rester avec vous. Pensez autant que vous le voulez. |
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