coeur enjoué de cette rencontre nocturne.
les néons dansent même avec lui quand il traverse les rues de la ville en sifflant.
il avait les joues rose et le coeur qui tambourine.
au final, peut être qu’il été réellement le y/n de cette histoire ?

Ren ne se lance pas dans ce genre de relation, volage, trop éphémère, il a toujours peur d’être abandonné ou maltraiter. mais il avait suivi la danse, comme quand on t’oblige à venir sur le dance floor et bouger dans tout les sens pour faire un semblant de monde sur la piste. il avait écouter la musique du bout de l’oreille et c’était autorisé à danser jusqu’à ce que ses jambes soit fatiguer d’être debout. Jin est la musique qui l’entraine, et la piste de danse c’est surement son lit qui sent l’amour et les miels pops.

cette rengaine de vieux couple qu’ils avaient, ces discussion jusqu’à l’aube, il en avait pris gout le gamin. et pourtant, il continuer à courir dedans, sans avoir peur de se blesser (ou pire : de blesser son partenaire). tout finira comme ça doit se finir, se disait-il alors qu’il monter les marches de son apparement par quatre, pour arriver plus vite (pour le voir plus vite!)

quand la porte s’ouvre, il s’empresse de venir lui sauter dessus. ce grand garçon d’un mètre soixante dix sept qui se jette sur son partenaire tel un enfant. « Je t’ai manquer ? » et il frotte le bout de son nez contre le sien, avant de se décoller avec douceur. il pose les courses sur la table, il sait déjà ou se trouve les toilettes, la chambre et le salon, il sait ou prendre un bol et une cuillère, ou mettre ses chaussures, ou trouver un pansement si il s’est fait un bobo. on se connais trop, avait-il avouer la dernière fois qu’ils se sont vu, et pourtant il avait encore envie de le revoir. encore et encore. jusqu’à ce qu’ils n’est plus rien à se dire.

yeux pétillants quand leur corps se rencontre, adolescence de nouveau retrouver quand il se retrouve en face de l’être aimer. comment expliquer ? c’étai si dur à d’écrire. son coeur tambourine, et il ne cesse de sourire bêtement. tel une jeune fille en fleure, en face de son crush. comme une personne qui a enfin oser dire à une autre qu’elle l’aimais et qu’étrangement, c’est réciproque.
c’est doser avec précision, ils se voient comment il le faut.
pas trop car ils seraient ecoeurer, mais assez pour que chaque au revoir soit douloureux.
et pas sur une durée trop éloigner, car sinon, ils se manquerais trop.
c’est parfait.
pour combien de temps ?
Ren essayer de ne pas y penser.

« On sait jamais, peut être que tu m’as remplacer avec un autre. » et il hausse les épaules, avant de glousser bêtement. vide le sac sur la table de la cuisine. les chocapics dans le placard d’en haut, près des biscottes et des confitures, les bouteilles de bière près du frigo, et les fruits dans le bac souvent vide. il est chez lui ici, il connais chaque recoin, chaque endroit, et parfois quand il est tout seul, il se demande si le papier toilette à été changer ou si ils auront assez pour faire des crêpes.

« Tu ne me dois rien, je squatte ici tout le temps, c’est moi qui devrais payer un loyer. »
et un clin d’oeil et le sac de course rejoint ses amis au sol. Ren retourne de nouveau près de son prince, contacte oblige. il glisse ses mains dans les siennes, elles remontent avec douceur jusqu’à son torse et ses épaules, pour s’achever sur sa nuque.

une romance adolescence, voilà à quoi ça ressemble.
un screen d’un coming of age, où deux adolescent paumer se donner de l’amour comme on donne des bonbons. le personnage principale, qui n’est personne d’autre que Jin se lassera bientôt de son amour de jeunesse au cheveux rose. et ils se retrouverons dans dix ans, Ren sur sa fin de vie et lui dans un costard des plus soigner. Ren presse alors ses lèvres contre les siens, soudainement peur que l’horloge tourne si vite qu’on soit déjà au générique de fin. « J’ai fait un rêve ou tu gagnes un oscar. Après t’as croquer dans une tomate crus que tu gardes dans ta poche, et après mon ancien prof de gym te demander te faire un tour de terrain. » il glousse bêtement, amusé par ces images qui le revienne de la nuit passer. « et moi je ne pouvais que t’admirer, de mon siège mal viser au fond de la salle. » rêve prémonitoire ?

cette peur constante de ne pas être suffisant, lui tire dans le ventre. comme un rappel de ses organes qu’il ne sera jamais suffisant. il ne sera jamais le premier choix, jamais le plan A. et il s’est fait à cette idée, Ren. une vie misérable mais perler de petite surprise, et il aime se dire que Jin en fait partie.

amour éphémère qui tomberai aux oubliettes, il le sait, mais il en profite. un peu tout les jours, il se rappel de l’odeur de son odeur, et de la sensation qu’il a quand ils sont tout les deux blotties dans son lit. un peu tout les jours, il se rappel du gout de ses lèvres et de cet instant précieux juste après le sex ou ils sont tout les deux essoufflés et fatiguer, et éperdument heureux de s’avoir l’un l’autre. un peu tout les jours, ça le draine à faire de son mieux et à la retrouver au plus vite. car le temps court si vite qu’il ne le voit pas filer entre ses doigts.

une seconde de plus, en bonus, rien que ça.
il hausse les épaules pour répondre à sa question. pour lui, c’était plus un rêve prémonitoire qu’autre chose. Ren le second choix sera bien là, au fond de la salle, et toi Jin, tu brilleras de mille feux avec celle ou celui qui te rendras vraiment heureux. mais ça, Ren, se garde de le dire. il n’a pas besoin de le dire à haute voix, il le sait, et au fond de lui, Jin doit le devinez aussi.

« Je rêve toujours de toi de cette manière là, aussi, ne t’en fait pas. » ses doigts file le long de son visage. quel bel homme. ses yeux pétilles comme un fond de bouteille de champagne, ses traits sont dessiner avec une tel finesse qu’il se demande si il est bien réel, ou juste un dessin en 3D et une qualité supérieur.

ses lèvres le frôle et ils s’embrassent avec passion. si Ren l’aimais autant, c’était aussi parce qu’en plus d’être intelligent et séduisant, ses baisers ont un gout de paradis. « Hm, tu sais j’ai des journées qui se ressemble. et toi superstar? » il embrasse sa joue avant de contourner sa personne pour finir de ranger ce qu’il faut ranger. c’est étrange de connaitre l’emplacement de chaque chose, il se sentirait presque chez lui. « Tu as faim ? Tu as envie de manger quelques choses ? Un bol de céréale ? Des toasts ? Moi ? » un clin d’oeil lancer dans la fouler alors que ses doigts referme le frigo après avoir ranger le lait. il se positionne entre la table de travail et lui, et se hisse jusqu’à sa personne pour smacker ses lèvres, il frotte ensuite de nouveau le bout de son nez contre le sien, avant de sourire bêtement. « Cette semaine je serai absent, on a une nouvelle set list pour mon groupe. Tu viendras me voir jouer un jour? Parait que j’suis pas mal sur scène. »