斎藤 - saito — promesse d'un temps, maux décoré de syllabes que personne n'ose porter. syndrome d'une contrée autre, quitté alors que le carmin s'est coupé de vitalité. elle s'abandonne dans les bras patronyme qu'elle assure une suivante journée.
百恵 - momoe — délicieuse insomnie de ce vide, rempli de contraire. un nom qu'elle adore h a ï r, souvenir d'une grande-mère paternelle habillée de cette douce silhouette caractère.

vingt-deux ans — divinité de vivre chaque moment en plus. certains se voient limite d'air, b r a i s e r des enfers ou bien même ils arrêtent leur propre chemin. gamine voyant une jolie aurore d'une chanson plus longue, alors que les notes se complexent.
vingt-sept mars 1998 — quand désir c o m p l i q u é fût la grande annonce. l'enfant fût attendue, milles et une offrandes offertes aux cieux. et l'idylle donna espoir à une histoire perdue.

japonaise — saveur d’à côté, les lèvres messagères d’un royaume dont la d i s t a c e se mesure en tapant dans la mémoire. les pas du sang ne reflètent pas l’avenir de l’enfant. car son regard a quitté cette terre, prenant l’illusion vers une autre.
coréenne — elle s’abandonne dans les bras berceurs qui lui est devenu familière. on pourrait dire qu’elle fût accueillie par l’h a r m o n i e de cette terre, alors que les étoiles lui ont donnés une seconde chance à renaissance. enfant ayant le sang d’un ici, se miroitante de g r â c e aux deux contrées.

enfant des jo — couronne de pétales, les cendres de ces dernières sont encore en é c h o. abritant le palace d’une branche cousine, seule dans la tempête. la môme sonne la cerisaie de son venin, venant d’une grande famille japonaise. et puis, le sang a lié l’histoire de la demoiselle. bateau ivre amenant à destination de ses liens cousins avec la première branche des jo.

anciens nobles — héritière diamant, posant le charme d’un japon où ces aïeux ont marqués le passage. l’empire dépassé reste dans la m é m o i r e de cet équilibre royaume. enfant dans les bras de sa famille, les jo, elle ne peut toucher cet ancien titre de gaegukja(開國 子) que les masculins dérobaient d’un temps.

célibataire, amoureuse d’une demoiselle ne voulant plus d’elle — refusant un mariage arrangé, l’infante s’envole très loin de l’idée de son oncle. alors que sangyeon avait décidé de la fiancer à un fils ayutthaya, momoe cria de négativité. n o n, elle ne veut de ce mariage sans histoire qui finira dans le même carmin que d’autres femmes qu’elle a connu. et puis, les pulsations ne se contrôlent tandis que la silhouette rayonnante de ses désirs semble si lointain. les souvenirs se faussent dans l’utopie, mais aimer ne rêve plus de ses l è v r e s.

jeune actrice — richesse d’un jour d’un lève au soleil puis d’un c o u c h e r au lunaire. ET C’EST FO. enfin je continue demain quoi.

aisée — les fontaines dorées dans les prunelles de l’ordinaire. crésus maudissant ces marionnettes de monnaie, alors qu’ils peuvent racheter le monde.

orpheline, adoptée des jo — unique bonheur de ses p a r e n t s. quand les abysses les rongent, l’infante n’a plus de silhouette repère. mais les doigts des cieux l’accueillent, tandis que l’enfant s’arrête de pleurer. se liant à sa branche cousine, momoe revit d’euphorie. tel le venin p a r a l l è l e, l’infante rejoint l’harmonie avec des utopiques frères.

 aaahahah non flemme.

i. diamant destin. seule enfant du couple saito, elle fût très attendue. la population pensait aiko infertile, mais l'espoir et l'amour que les deux êtres se baladèrent sur la porcelaine infante. couronne de précieuse, elle fût gâtée de richesse, vivant f l e u v e d'or et de paraître. ii. bateau perdu. et les ailes fondus des icarus disparates au fond des océans. joie oubliée, momoe n'est qu'abandonnée par ses êtres chers. les larmes fontaines, elle rêvait de les rejoindre. petite enfant courant vers l'inconnu alors qu'un homme arriva par son visage. q u i t t e r, son oxygène d'ivresse, pour un thébaïde embrasé.