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forum type réalité alternative mettant en lumière une monarchie fictive moderne située dans une corée réunifiée. rejoignez-nous à hanseong, princesse, ancien noble, majordome, rebelle démocrate ou simple citoyen en paix, où amours, complots, réputation, alliance et trahison entrent dans votre existence. KINGDOM COME est administré par cez, childish, moonset et modéré par niou, gouine b, overzone et midnight shadow ♡ le forum est optimisé pour google chrome ♡ le contexte, le design et l'ensemble des codes ont été faits par CEZ, CHILDISH et MOONSET, toute reproduction partielle ou totale est INTERDITE. | | | | khan yesun présence réduite |
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11/10/20 — cinquième version automnale, parfum de citrouille et feuilles qui tombent !! advert — obtenez 100 points de réputation en rejoignant le groupe des in my blood ou celui des shots fired ! advert — merci de respecter au maximum les origines de votre fc ! 21/05/20 — le forum a ouvert ses portes, amusez-vous bien ! | |
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Lun 1 Juin - 21:29 Invité « Non mais non, pas comme ça Rob, pas comme ça ! Tu dois prendre une allure plus… Plus Miranda dans le Diable s’habille en Prada, tu vois ? Tu t'rappelles de la meuf de Air Korea qui a frappé le staff et le copilote parce que ses noix étaient dans un sachet plastique et pas dans un bol en or ? Imagine que tu es elle. » Rob, comme Robin. Et Robin, c’est Yun. Yun et Byeol. Le Ying et le Yang. Les deux facettes d’une même pièce. Robin et Batman. Batman et Robin. Inséparables since… Since always. Et si la vie les avait éloignés pendant quelques années, voilà qu’ils étaient de nouveau l'un auprès de l’autre, décidés à ne plus jamais se quitter. Gosses, ils enchaînaient déjà les conneries. Adultes, ils en faisaient toujours autant. On ne change pas une équipe qui gagne, n’est-ce pas ? Byeol avait besoin d’infiltrer un endroit select, for work purposes, voyez ? Elle faisait déjà dans le journalisme d’investigation, tout à fait. Sauf que, les endroits select n’acceptaient que les upper-super-duper riches… Ce qu’elle n’était pas. Yun non plus. A vrai dire, ils étaient plutôt parmi les super-upper-duper pauvres. L’autre extrémité. But, la fin justifie les moyens. Allait-elle laisser tomber juste parce qu’elle n’avait pas le porte-monnaie qu’il fallait pour rentrer dans cet hôtel ? No fucking way. Elle devait assister à cette soirée privée, quoi qu’il lui en coûte. Enfin, tant que les vêtements restent en bon état à la fin de la soirée parce qu’ils n’étaient pas les siens, seulement empruntés à une amie. « Essaie l’autre chemise, avec le pantalon là. Ils devrait bien t’aller. » Et pendant ce temps, la brune attrapait sa tenue, pour aller s’habiller en vitesse avant de revenir, adoptant sa démarche la plus… La plus snobbish cat walk qui soit. « Alors ? De quoi j’ai l’air ? D’une grosse garce j’espère. Look at me, peasants. » |
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Mar 2 Juin - 2:26 Invité le chaotique duo d’hanseong. avec un seul braincell depuis l’enfance. toujours sur la même longueur d’onde. c’est sa famille. c’est celle qui lui apporte le kimchi de la mère hwa, parce qu’il n’arrive toujours pas à affronter le regard de sa génitrice. byeol, c’est la petite fille a qui il a dit au-revoir juste avant d’aller au commissariat. et la jeune femme qui l'a enlacé à sa sortie de prison. dernière, et première. il se souvient encore des insultes cachées dans les sanglots de la gamine de treize ans. pourquoi tu fais ça, sale con. restes, putain.il n’est pas resté. souvent, au parloir, byeol faisait face à un yunwoo éteint. les cheveux rasés. des nouvelles cicatrices, des nouvelles ecchymoses à chaque visite. mais il lui souriait toujours. et elle avait toujours son caractère de reine de la pègre que rien ne pouvait faire pleurer. mais il les voyait à chaque fois. les tremblements de son corps qui grandissait. les hésitations dans sa voix. je sais, byeol. moi aussi.elle ne l’a pas abandonné. même sans savoir la vérité, son innocence. alors quand batman l’appelle pour une mission, robin, il jette tout ce qu’il fait et il ramène sa carcasse. après lui avoir vaguement expliqué qu’ils allaient pénétrer dans une soirée de riches, elle lui a présenté tout un tas de vêtements plus onéreux les uns que les autres. lui qui était venu avec une veste et un jogging adidas, des chaussettes et des claquettes, sans oublier un bob en jean, c’était sûr qu’il y avait du boulot pour le transformer en riche playboy. il n’a pas hésité avant d’enfiler la première veste en peau de crocodile. mais byeol intervient rapidement. il ne comprend qu’à moitié les références et la regarde l’air pensif, la veste lui tombant des épaules. « quoi faut donner des claques pour avoir l’air riche ? du coup c’est fastoche. surtout pour toi. » petit sourire. il réajuste le smoking croco et essaye de suivre les conseils. son regard est intense, comme s’il allait faire une crise dans un lieu public parce qu’il y a un cornichon de son burger. (il utilise les références qu’il connait) aux paroles de son chef, il regarde sur le lit et voit un blazer blanc avec des rayures argentées, surement plus chère que sa vie. puis un pull en coton à col roulé. et le pantalon noir. opulence sous ses yeux. « au fait t’as braqué une boutique de luxe, ou quoi ? » dit-il en retirant rapidement sa veste, son tee-shirt arc-en-ciel (adieu, petit) pendant que byeol est partie. il se change très rapidement et s’assoit sur le lit, sagement. il pioche un kimbap dans l’assiette qui trône sur le lit et qui ne demande qu’un geste brusque pour se renverser sur les robes chanel. (ils aiment vivre dangereusement) le grand-père de byeol avait préparé un petit en-cas pour eux. comme un goûter pour des enfants (pauvre) qui joue à se déguiser (en riche) c’est que yunwoo ne peut pas venir chez son étoile sans saluer et présenter ses respects au patron. comme son père. elle débarque comme une fleur, tapant sa meilleure pose. et l’ancien taulard lève les deux pouces en l’air, un grain de riz sur le menton. « putain, bravo, rien qu’à te regarder, j’ai le compte en banque qui flambe, oppa. » il applaudit légèrement et finit par former un cœur avec son pouce et son index.. (tuez-le.) il se lève et tire sur le col de son pull qui l'étrangle puis sur le bas de la veste. « et moi ? on dirait pas que j'ai des chiottes en or massif, chez moi ? » petite pause, regard sérieux. puis il tourne les talons pour se regarder dans le miroir rectangulaire, posé contre le mur, offrant son échine à la diva. « t'as des chaussures aussi ? parce que je suis pas sûr que mes claquettes, ça aille avec tout ça. » demande-t-il au reflet de byeol, le regard fixé sur le miroir. |
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Jeu 4 Juin - 12:45 Invité Elle s’était sentie perdue, sans Yun. Elle s’était sentie seule. Abandonnée, une fois de plus. Après tout, toute sa vie, elle n’avait connu que lui. Son meilleur ami. Son double. Ils avaient joué ensemble, elle l’avait frappée, il l’avait portée. Longtemps, ils avaient déambulé dans les rues, couru, ri. Ils étaient si inséparables qu’on voyait rarement l’un sans l’autre. Là où était Byeol, il y avait Yun pas loin, qui suivait. Tous le savaient, dans le quartier. Après son départ, Byeol s’était un peu renfermée. Elle l’avait mal vécu, oui. Comme si on lui avait enlevé une part d’elle-même. Comme si on l’avait coupée en deux, puis pris une partie. Elle s’était sentie vide, si vide. Le temps lui avait paru long. Et enfin, son Robin était revenu. Et elle le frappait, comme à l’époque, l’engueulait, mais en réalité, remerciait Dieu dès qu’elle le pouvait… Car il était revenu, et il ne repartirait plus, right? Un sourire en coin, la brune lui donne une petite tape sur la tête à sa remarque. C’est vrai qu’elle avait les coups faciles. Voyez, elle était une riche par nature. Une riche qui s’ignorait. Si seulement elle savait. « J’connais des gens hauts placés, t’sais. J’ai des contacts dans la haute society. La crème de la crème. J’ai le bras long. J't'impressionne hein ? » En réalité, toutes ses tenues étaient sponsorisés par les Wang, @Wang Anna plus particulièrement. Comme quoi, ça avait du bon d’avoir des amis friqués, surtout lorsqu’on était fauché. « Get familiar with this face or get familiar with the unemployment line. I’m gonna call Daddy. And he's gonna fire you. Daddy! Daddy! » Heureusement que papy Gun speakait pas trop l’english, hein, autrement imaginez s’il avait débarqué face à tout ça ? Puis, d’une démarche de reine, parce que eh, Byeol prend tout ceci très au sérieux, faut qu’elle s’entraîne ! Elle vint se placer derrière son Robin en costard, face au miroir. « A te voir, on dirait même que ton uc est en or massif, là. » Elle finit par glisser ses mains sur le col, l’arrangeant un peu, avant d’épousseter la veste et de la tirer histoire qu’elle soit plus cintrée : ils devaient être les plus beaux tonight et c’était bien parti. « Tu sais que t’es bg toi parfois ? » C’est dans ce genre de moment que Byeol se sentait si chanceuse de l’avoir retrouvé. Et elle ne put d’ailleurs s’empêcher de l’enlacer un moment, posant sa tête contre son dos quelques instants, mais sans rien ajouter, chut, fallait pas qu’elle ait l’air d’une fragile, attention. « Ah ouais. Chaud tes claquettes du pauvre là. Mais t’inquiète même pas, j’ai tout prévu. » Puis parce qu’il fallait compenser un peu le moment douceur, elle lui pinça le dos avant d’aller lui chercher de quoi habiller ses pieds. Ramenant au passage ses propres chaussures. « Toi t’as de la chance au moins c’est plat. Moi j’dois mettre des talons. Si on doit fuir je vais faire comment ? Tu m’portes ? » Comme à l’ancienne, lorsqu’ils étaient gosses. |
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Sam 6 Juin - 2:04 Invité des enfants qui essayent de jouer aux adultes. but they dont teach us how to be adults. c’est ce qu’il se répétait dans sa cellule. encore maintenant, alors qu’il plaisante avec sa supernova, qu’il se laisse doucement frapper la caboche abîmée, il doute d’être un adulte responsable comme on en voit dans les séries. pourtant, depuis ses treize ans, il se démerde. il travaille, ramène de l’argent à la maison, pour lui et sa mère. maintenant c’est majoritairement pour sa tronche mais il aide toujours la matriarche qui a trop souffert par sa faute. cela fait seulement cinq mois qu’il respire l’air libre. mais être un véritable adulte ? responsable, mature. ça ne lui va pas. responsable pour les choses qu’il ne fait pas, peut-être. coupable d’être un imbécile épris. mais byeol, elle n’en sait rien. (tant mieux.) faudrait pas que robin soit destitué de sa place, parce qu’il deviendrait quoi, sans batman ? un vulgaire figurant de sa propre vie, si ce n’est pas déjà le cas. il éclate de rire quand byeol se met à parler anglais avec une voix mondaine puis le complimente à sa manière. les larmes qui montent aux yeux. la main sur le ventre parce que les abdominaux se contractent trop. elle se glisse dans son dos. « comment ça, parfois ? tu sous-entends que je suis moche d’habitude ? choqué et déçu. » il fronce les sourcils, le regard planté dans le miroir, sans pouvoir cacher un petit sourire, des yeux pétillants de légèreté. les poussières invisibles éventés, les épaules cintrées. byeol se repose doucement sur son échine. les mains délicates l’enlacent. il ne bouge pas. les épaules s’abaissent, comme sa garde. il souffle. comme si pendant ce moment, il pouvait craquer. cracher toutes ses peines. mais il ne peut pas. il ne doit pas. et yunwoo arrête de sourire quelques instants. il baisse la tête. n’affrontant même pas le reflet. il fuit, l’espace d’un instant. dans toute cette étreinte, aussi innocente que éphémère, il ressent la tristesse de la plus jeune. le désespoir enfoui pendant toutes ces années. il serre les dents, le temps d’un battement de cil. désolé, désolé, désolé. ça tourne en boucle dans sa tête.
pour l’avoir fait autant souffrir, peut-être qu’il méritait la taule.il a été égoïste, con, le pire. il n’a pensé qu’à son sacrifice. mais dans sa chute, il emportait tellement plus. l’injustice qui lui cogne le dos, délicatement. mais ça lui fracasse le cœur. vague de culpabilité qui noie la fierté de ses actes. c’est déjà finis. byeol n’est pas faible. la faiblesse qu’il éprouve en ce moment alors qu’il la regarde à nouveau, dans le reflet. il essaye de rire mais ça ne sort qu’à moitié. un petit ricanement. heureusement, elle part quelques secondes. il en profite pour soupirer et ravaler les émotions. elle lui dépose des chaussures noires et il les enfile instantanément, essayant de reprendre une désinvolture plus appropriée. « ça rassure d'entendre que t’es si sûre de toi et de ton plan, que tu parles déjà de fuite. » il se plante face à elle, se décollant enfin du miroir « dans quelle embrouille tu vas encore me mettre, hein ? » et il aplatie les deux joues avec les paumes de ses mains, faisant ressortir les pommettes de la plus jeune avec une malice dans le regard. elle est là. la petite fille qu’il a sauvé dans un square. ils sont là, les pansements qu’ils mettaient sur les blessures quand elle tombait. les rires à courir dans les rues, poursuivies par des adultes énervés. celle qui boudait quand il était en retard. celle qui lui tenait la main puis oubliait qu’elle était une dure à cuire et lui donnait un coup dans le tibia. « t'es toujours aussi cute, quand je fais ça, ça m'avait manqué. » dit-il en exerçant une dernière pression avant de relâcher les joues prisonnières. le sourire aux lèvres. « t'oses poser la question, j'te porte depuis le bac à sable, j'te signale. un peu de respect pour ton sauveur. » la soutenir, l'aider. être là, pour elle. tout le temps. rattraper les années perdues. elle, le choc qui fait battre son cœur, encore une fois. il regarde les talons de la plus jeune. « au moins avec ça, tu m'arrives presque au menton. » dit-il en soulevant légèrement la tête pour se donner encore de la marge, avec leur différence de taille significative. |
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Lun 22 Juin - 15:18 Invité Pourtant, Byeol savait. Elle savait plus qu’il ne le pensait. Parce qu’elle était curieuse, parce qu’il était son double, parce qu’elle avait toujours été persuadé qu’il était innocent, qu’il n’y était pour rien et attendait simplement de le découvrir. Alors elle fouinait. De plus en plus. Elle s’approchait du but. Et si elle ne connaissait pas encore le fin mot de cette histoire, tôt ou tard, elle finirait par le toucher, par y arriver, par l’avoir. Il lui avait manqué. Beaucoup manqué. Tellement manqué. Peu importait ce qu’elle découvrirait, rien ne lui ferait abandonner son Robin. Elle l’avait déjà perdu une fois, une fois de trop. Et ainsi blottie contre lui, la belle en profitait. Profitait de sa présence. Elle n’était pas la plus douée pour exprimer ses sentiments et émotions, Byeol. Un peu bourrine, un peu rentre-dedans, qui ne veut pas avoir l’air d’une fragile. Qui frappe en général, plutôt que d’étreindre et d’embrasser. Mais là, elle n’avait pas pu résister. A vrai dire, elle ne l’avait pas même réalisée qu’elle l’avait déjà entouré de ses bras. Et si elle le pouvait, elle y resterait volontiers la journée. Elle s’inquiétait pour lui. Elle s’inquiétait énormément pour lui. Elle s’inquiétait plus pour Robin que pour Batman. Elle s’inquiétait plus pour lui que pour elle. Elle n’avait pas envie qu’il reste en marge de la société pour un meurtre qu’il n’avait pas commis. Parce que oui, elle en était certaine, qu'il ne l'avait pas commis. Elle n’avait pas envie qu’il soit un paria pour toute la vie. Elle n’avait pas envie que sa vie soit gâchée pour ce malheureux acte dont il n’était pas même responsable. Et elle avait peur. Elle avait peur, car elle ne connaissait que trop bien cette société. Société cruelle, qui lui crachait au visage parce qu’elle n’était pas noble ni privilégiée… Et pourtant, Byeol était plus mainstream que lui. Elle se fondait plus dans la masse que Yun. Alors qu’allait-elle donc lui réserver, à lui, cette société de merde ? Elle y pensait souvent. Elle pensait souvent à ce qu’il deviendrait. Elle n’avait pas envie qu’il tourne mal, juste parce qu’il n’avait pas le choix, parce qu’on ne lui en laissait aucun, de choix. « Mais n’importe quoi ! Bien sûr que j’suis sûr de moi, ça n’a rien à voir ! T’vois, papy, il m’a toujours dit, avant de rentrer quelque part, pense déjà en chercher la sortie. Il faut toujours avoir un plan B, et penser à une voie d’où l’on peut se barrer. Tu piges ? » Encore un peu, et elle allait agrémenter le tout d’un hairflip. Mieux valait être trop prudent que pas assez, et trop pessimiste que pas assez. Mais pas le temps. Parce que Yun a décidé de lui aplatir les joues, tandis qu’elle fait la moue. Il le faisait souvent, ça, à l’époque. Il le faisait souvent, alors qu’elle râlait, puis essayait de lui tirer les cheveux sans y arriver, car il était si grand de taille, et elle si petite. Ca n’avait toujours pas changé d’ailleurs. Elle était la naine du duo. « Mon sauveur ? Pffff. Moi aussi je partageais mon goûter avec toi hein et je te sauvais de la faim à chaque récré. » Tutafé. Elle le sauvait de la faim. « Et c’est grâce à ça que t’as bâti cette musculature digne d’Arnold Schwarzenegger et que tu peux me porter. » Cqfd. Et il l’avait portée. Souvent. Si souvent. Il l’avait portée sur ses épaules, sur son dos, dans ses bras. L’avait faite tournoyer. L’avait tenue, l’avait consolée. Puis était partie. Et à chaque fois qu’elle allait mieux, et à chaque fois qu’elle était heureuse, cette chute revenait la hanter. Il était parti. Syndrome de l’abandon, très probablement, qui n’en était là que plus exacerbé. « Nianianiania. » Elle lui tira la langue, alors qu’elle mettait ses chaussures à son tour, tentant d’avancer d’un pas décidé. « Putain ça fait mal aux ieps ces trucs. » Elle afficha une petite moue. Mon dieu que c’était douloureux. Bon. Byeol. Courage. C’est pour la bonne cause. Pour la vérité. Pour le journalisme. Pour la populace. She has to do it. They have to. « … Tu veux encore manger un peu avant ? Non parce que tu connais les richous, ils mangent que des trucs où y a deux olives et une miette de thon sur l’assiette. Vaut mieux qu’on fasse le stock ici. » Si gentille et généreuse, Byeol. Elle pensait toujours à Yun et son estomac. Bah ouais, fallait qu’elle continue à le nourrir pour qu’il continue à la porter. Cqfd x2. |
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| | call daddy! ft robin | |
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